Le packaging luxe

Le packaging luxe

Je ne sais pas vous, mais en ce qui me concerne, j’ai déjà acheté des produits juste à cause de leur emballage.

Mais comment jugeons-nous du caractère luxueux d’un produit, a fortiori quand celui-ci est encore emballé ?

J’ai mené l’enquête et relevé les caractéristiques qui font que, en un coup d’œil, nous percevons le luxe via le packaging.

Comme nous sommes des créatures de sens, c’est par l’usage de ces derniers que nous tirons nos conclusions. Le packaging de luxe va donc jouer sur nos sensations pour instiller en nous la confiance nécessaire à l’achat d’un produit onéreux.

 

1. La vue

Les premiers éléments qui nous indiquent que nous sommes face à un packaging de luxe passent par nos yeux :

  • La couleur : le luxe ne fait généralement pas dans la fantaisie. Noir, blanc, beige, gris, c’est le quatuor de tête pour le packaging des industries haut de gamme.
  • La brillance / matité : le contraste produit par l’utilisation d’un fond mat accueillant un texte ou logo brillant (que ce soit avec du vernis, sans impression, ou avec une dorure or ou argent) est un classique du packaging de luxe.
  • Le minimalisme : less is more, on ne le répètera jamais assez. Concernant les éléments graphiques d’un habillage de packaging, tout comme Coco Chanel le disait à propos des accessoires, il faut toujours enlever les derniers que l’on a mis. La typographie également doit être soignée (on évite le Comic Sans MS, je préfère le répéter).

2. Le toucher

Les emballages des produits de luxe ont recours à des matières plus onéreuses que leurs homologues bas de gamme : velours et satin en tête de peloton. Des papiers plus épais, souvent texturés, sont également fréquemment utilisés, avec du gaufrage pour créer du relief, ou encore du vernis, qui viennent ajouter des sensations sous nos doigts.


3. L’ouïe

Vous savez le bruit que fait le plastique d’un emballage de CD ? Et bien c’est tout ce que l’on veut éviter dans le packaging luxe. On préfèrera des coffrets qui se referment dans un souffle, des sons lourds et étouffés, des glissements de nœuds de satin qui se défont…

 

4. L’odorat

Même si l’on n’est pas obligé de parfumer ses emballages à grands renforts d’effluves de luxe, on peut toutefois éviter qu’ils ne sentent le plastique d’entrepôt. Une odeur neutre sera toujours plus avantageuse. Mais si l’on peut ajouter un parfum discret dans le papier, par exemple, ce sera un plus.

 

5. Le goût

Non, désolée, mais on ne mange ni ne lèche les emballages. Ce sens-là, on l’oublie pour notre packaging de luxe.


Les petits trucs en plus

Pour compléter notre packaging de luxe, on peut également penser à :

  • Des détails de fermeture : ruban, aimant, bouton…
  • Du mystère : créer de l’anticipation en multipliant les emballages
  • La qualité : on évite ce qui peut facilement se froisser, se décoller, se désintégrer…

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10 raisons de choisir un(e) graphiste freelance quand on est un(e) jeune chef d’entreprise

10 raisons de choisir un(e) graphiste freelance quand on est un(e) jeune chef d’entreprise

Vous avez créé votre entreprise et avez maintenant besoin de lui donner une image et de la faire connaître.

Pour créer votre logo, identité visuelle, charte graphique, site internet, vos flyers, prospectus, dépliants… vous êtes à la recherche d’un professionnel de la communication. Vous faites alors face à 2 possibilités : passer par une agence de communication ou bien faire appel à un graphiste indépendant, un « freelance ».

Pour avoir travaillé 3 ans en agence de communication à Bastia avant de devenir freelance en 2010, je peux vous parler de différences significatives que j’ai rencontrées :

1. Le graphiste indépendant coûte généralement moins cher qu’une agence

La raison principale est simple : un freelance n’a pas besoin de bureaux et paie moins de charges sociales, selon le statut choisi. La différence de tarif en résultant est bien souvent très conséquente : il n’est pas rare qu’une agence facture deux fois plus qu’un indépendant !

 

2. Le graphiste freelance travaille vite

Comme évoqué plus haut, l’indépendant a moins de charges qu’une agence de communication, ce qui fait qu’il a également besoin de moins de clients. Vous serez donc servis plus rapidement. Je me souviens, lorsque je travaillais en agence, d’un client qui attendait son logo depuis… 1 an ! En ce qui me concerne, la livraison d’un logo intervient en moyenne moins d’un mois après commande…

De plus, la réalité fait qu’un freelance prend généralement moins de congés qu’un salarié d’agence de communication, ce qui évite de prolonger votre attente.

 

3. Le graphiste freelance travaille bien

Seul maître à bord, il ne pourra pas faire rattraper son travail par un collègue ! De plus, la qualité du travail d’un graphiste indépendant est sa seule vraie carte de visite. Sa réputation est en jeu à chaque projet, avec chaque client. Pas le droit à l’erreur ! Il fera tout pour vous satisfaire.

 

4. Le graphiste indépendant est passionné

Ce n’est pas un métier que l’on choisit par hasard ou parce qu’on ne sait pas quoi faire d’autre. Et si l’on a travaillé en agence de communication, on se rend vite compte que l’on est bridé par des supérieurs qui n’ont pas forcément la même conception de la créativité.

Ma décision de devenir indépendante en 2010 a été en grande partie motivée par ce besoin que j’avais de pouvoir proposer à mes clients mes créations telles que je les envisageais, sans qu’elles aient à passer par le filtre frileux et conventionnel de quelques personnes mues par la crainte de ne pas plaire…

De plus, la motivation d’un graphiste indépendant sera toujours plus importante que celle d’un employé d’agence payé au lance-pierre qui ne fera que le minimum qu’on lui demande, sachant le manque de reconnaissance qui l’attend.

 

5. Le graphiste freelance est votre interlocuteur unique

Étant la seule personne s’occupant de votre projet, il en connaît tous les détails. Vous ne serez pas filtré par une secrétaire, ou vous n’aurez pas à réexpliquer 3 fois ce que vous souhaitez à un chef de projet qui débarque ou au graphiste remplaçant celle qui s’occupait de vous avant son congé maternité…

 

6. Le graphiste indépendant est flexible et mobile

Maître de son emploi du temps et le plus souvent sans bureau fixe, votre graphiste freelance sera plus à même de se déplacer pour vous rencontrer, sans avoir à organiser cela des semaines à l’avance avec sa direction…

 

7. Le graphiste freelance a souvent un réseau de professionnels indépendants

Même si la plupart des graphistes indépendants sont multi-tâches et savent gérer des projets multimédia, il y a beaucoup de métiers qui gravitent autour de son activité : photographie, développement web, montage vidéo… Il y a de fortes chances pour que votre entreprise ait un jour besoin de ces compétences, et votre graphiste indépendant peut vous mettre en relation avec des pros. Un gain de temps pour vous !

 

8. Le graphiste indépendant est plus appliqué

Comme nous l’avons vu précédemment, une agence de communication a besoin de beaucoup plus de clients qu’un graphiste indépendant pour se maintenir à flots, ce qui implique aussi d’avoir moins de temps à consacrer à chaque projet. Lorsque j’étais employée en agence, j’avais parfois l’impression de travailler à la chaîne : « Flora, tu as une heure pour faire ce logo ! ». Même si le travail dans l’urgence peut parfois donner de bons résultats, je préfère quand même prendre le temps de faire quelque chose de réfléchi, qui a du sens. Et seul le statut d’indépendant permet cela.

 

9. Le graphiste freelance est plus audacieux

Lorsque l’on travaille pour soi et que notre réputation est tellement importante dans notre carrière, on veut faire toujours mieux, innovant, différent, afin de ne pas se faire dépasser par les « nouveaux », qui débarquent toujours plus nombreux sur le marché des freelance. Cette compétition, saine, nous oblige à oser, à sortir de notre zone de confort. Donc si vous voulez de l’originalité, faites appel à un graphiste indépendant.

 

10. Un graphiste freelance se cache peut-être dans une agence

Si malgré ces 9 bonnes raisons, vous décidiez quand même de confier vos projets de communication à une agence, sachez qu’il se peut très bien que celle-ci sous-traite ses projets à un freelance ! Mais elle vous facturera sa commission au passage…

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Vous courez après le temps : des solutions pour en gagner

Vous courez après le temps : des solutions pour en gagner

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Gagner du temps ? C’est ce que tout entrepreneur souhaite. Même si nous disposons tous de 24 heures par jour, certaines personnes semblent réussir à en faire beaucoup plus que d’autres. Mais comment se fait-ce ? Si vous courez après le temps, voici quelques solutions pour en gagner (un petit peu, hein).[/vc_column_text][vc_column_text]

Pour gagner du temps, évitez les distractions : focus !

J’ai horreur du téléphone. Je déteste qu’on m’appelle. Un coup de téléphone, contrairement à un mail ou un SMS, ça implique de l’urgence, une réponse immédiate. Les téléphones portables nous on rendus disponibles 24h/24. On sait bien que tout le monde a toujours son téléphone près de lui. Nous sommes tous accro. Comment travailler correctement, c’est-à-dire en étant un tant soit peu efficace et productif, si la sonnerie du téléphone vient nous interrompre 10 fois par jour ?

Je passe mes journées en mode Avion. Lorsque j’ai besoin d’être concentrée pour terminer une tâche, je ne peux pas laisser mon portable me distraire, que ce soit par des appels ou par des notifications d’applications. Les réseaux sociaux, c’est une belle invention, mais pas quand je dois travailler.

Mes e-mails ne sont pas synchronisés automatiquement, je le fais uniquement manuellement.

Une fois mes sessions de travail terminées, je reprends contact avec le monde extérieur. Il n’y a rien ni personne qui ne puisse attendre ma réponse quelques heures…[/vc_column_text][vc_message message_box_color= »black » icon_fontawesome= »fa fa-plane »]

Mode Avion = productivité +100%

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Ne confondez pas importance et urgence.

Une to-do list qui déborde, c’est la paralyse assurée. Pour être efficace, et donc gagner du temps, il faut savoir à quoi donner notre attention en priorité et ainsi éviter, au final, de ne rien faire du tout.

Mais savez-vous distinguer l’important de l’urgent ?

Pour savoir si une tâche est importante, il faut se poser quelques questions, notamment :

  • Quel problème cela va-t-il résoudre ?
  • Est-ce que c’est vraiment utile ?
  • Est-ce que cela ajoute de la valeur à mon entreprise ?
  • Pourrais-je obtenir le même résultat d’une façon plus simple ?

Une fois l’importance déterminée, reste à savoir si l’urgence est là. Un délai à tenir, une offre à saisir qui a une durée limitée dans le temps, un départ en vacances ? Les tâches qui cumulent importance et urgence sont à mettre en haut de la liste.

Mais surtout : être concentré(e) ! Une fois qu’on a décidé que la tâche X était à faire avant la tâche Y, il ne faut plus penser à la tâche Y avant d’avoir fini la tâche X. Pas de regrets. Il faut faire des choix dans la vie 😉 (et bien sûr : mode Avion, mode Avion, mode Avion !)

Si vous souhaitez approfondir le sujet de la gestion du temps, je vous invite à vous renseigner sur la Matrice d’Eisenhower.[/vc_column_text][vc_message message_box_color= »black » icon_fontawesome= »fa fa-exclamation-circle »]

Ce qui est urgent n’est pas toujours important

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Éliminez les déplacements inutiles.

Et si vous arrêtiez de perdre du temps dans les transports ? Que ce soit en voiture ou en bus, on n’est jamais sûr du temps que nous prendront nos déplacements, sans parler du stress provoqué par les embouteillages.

Il est devenu si facile de communiquer avec n’importe qui dans le monde entier depuis son bureau, pourquoi se priver de ce confort ? Il est fort possible que vos prestataires de services puissent réaliser vos projets sans que vous ayez à les rencontrer. Je sais que cela m’arrive souvent ! J’ai beaucoup de clients que je n’ai jamais rencontrés, et dont je ne connais même pas le son de la voix. La virtualité de nos échanges ne m’a pas empêchée de créer ce qu’ils attendaient de moi.

Si le travail en amont est bien fait, on peut tout à fait faire réaliser son logo à distance, par exemple. Pour simplifier la relation virtuelle et permettre à mes clients de gagner du temps, j’ai établi un questionnaire qui me permet de connaître parfaitement les besoins et objectifs du projet de création de logo.

Ainsi, nous évitons chacun de passer en moyenne 1 heure dans les transports pour chaque rendez-vous. Le suivi se fait par e-mail ou parfois par téléphone. À raison d’un rendez-vous par semaine, cela fait gagner 52 heures par an, soit plus de 2 journées ![/vc_column_text][vc_message message_box_color= »black » icon_fontawesome= »fa fa-car »]

Rendez-vous virtuels = 52 heures de gagnées par an

[/vc_message][vc_column_text]Vous connaissez d’autres méthodes pour gagner du temps ? Partagez-les dans les commentaires ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Photo de haut de page : Markus Spiske

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Ne perdez plus de temps !

Contactez-moi par e-mail pour votre prochain projet de communication

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    Faire de la publicité pour son entreprise en se distinguant de ses concurrents

    Faire de la publicité pour son entreprise en se distinguant de ses concurrents

    [vc_row][vc_column][vc_column_text]En tant qu’entrepreneurs, nous avons tous des concurrents, et le souhait de s’en démarquer. Quand on débute, on a besoin de se faire connaître et de s’affirmer comme « différent » de ses homologues. Si l’on est en place depuis longtemps, on cherche à ne pas se faire oublier du public ni dépasser par les nouveaux arrivants. Alors comment faire de la publicité pour son entreprise et se distinguer de la concurrence ?[/vc_column_text][vc_column_text]

    Vous êtes unique.

    L’activité de votre entreprise ne l’est sans doute pas, mais vous oui. Que vous soyez un coiffeur, une coach sportive, ou un dentiste, vous faites le même métier que beaucoup de gens, mais vous le faites différemment, parce que c’est vous, et qu’il n’y en a pas deux comme vous, d’ailleurs il n’y aura plus jamais sur Terre le(a) même que vous. JAMAIS. Pensez-y !

    Si je vous dis ça, c’est parce que la première chose à faire pour se distinguer de ses concurrents, c’est d’être soi-même. On peut être tenté d’imiter, voire de copier ceux que l’on juge comme ayant plus de succès que nous, mais c’est le piège dans lequel il ne faut pas tomber, parce que ses conséquences seront l’exact opposé de l’effet souhaité.

    En étant toi-même, tu as mis quelque chose de merveilleux dans le monde qui n’existait pas auparavant. – Edwin Elliot

    Lorsque l’on copie quelqu’un, personne n’est dupe. Le public s’en rend bien compte, et au lieu de devenir cet autre, on devient son ombre pâle et pathétique. Et ça, on ne veut pas.

    C’est pourquoi dans chaque message que vous diffusez publiquement, que ce soit sur les réseaux sociaux, dans la presse, à la radio, sur des panneaux géants, vous devez mettre un peu de vous-même. On ne parle pas ici de raconter sa vie, mais d’utiliser tout ce qui fait que vous êtes vous. Y compris (je dirais même : surtout) vos faiblesses. Transformez-les en forces, en rappelant ainsi au monde que vous êtes humains. Et donc accessible. Ça rend tout de suite plus sympathique 😉

    Mettez dans votre marque tout ce qui vous caractérise : votre personnalité, vos tocs, vos bizarreries, vos habitudes, vos histoires, vos valeurs.

    Et si vous avez du mal à vous définir, voici quelques pistes pour vous aider :

    • Demandez autour de vous quelles sont vos 3 principales qualités ;
    • Faites une liste de 10 choses que vous aimez, qui vous passionnent, même si elles vous semblent « bizarres » ;
    • Faites le test de personnalité Gallup ;
    • Trouvez au moins 5 histoires marquantes dans votre vie, qui expliquent pourquoi vous en êtes là où ou vous en êtes aujourd’hui. « Les faits racontent, les histoires vendent » : personne sur la planète n’a vécu les mêmes choses que vous, donc personne ne peut copier vos histoires.

    [/vc_column_text][vc_column_text]

    Connaissez votre audience.

    Qui a besoin d’un flyer de plus sur le pare-brise de sa voiture ? Nous sommes continuellement harcelés d’images et y prêtons donc forcément de moins en moins attention. Sortir du lot est donc devenu plus ardu, malgré la multiplication des canaux de communication.

    Un flyer A5 sur papier glacé 130g, avec plein de texte dessus, soyons réalistes, ça n’a quasiment pas d’impact. On en a trop vu, et ils sont souvent bien trop remplis de toute façon pour que quoique ce soit de notable en sorte (je vous parlerai de la peur du vide très bientôt).

    De plus, au-delà du support en lui-même, son mode de diffusion laisse à désirer : aucun ciblage n’est jamais fait, puisqu’il semblerait que tout possesseur de véhicule soit une cible potentielle pour la majorité des entreprises. Pourtant, ce n’est pas un critère réaliste. Et pour qu’une action de communication soit efficace, il faut commencer par réaliser un bon ciblage.

    Savez-vous qui achète ou est susceptible d’acheter vos produits ou services ? Si la réponse est non, arrêtez tout, et penchez-vous sur le sujet tout de suite !

    La plus grosse erreur que l’on puisse faire lorsque l’on communique, c’est de vouloir parler à tout le monde. Aucun produit sur Terre n’est adapté ou ne plaira à tout le monde. Aucun !

    En essayant d’adapter votre discours à toute la population, vous réduisez fortement vos chances de toucher les personnes qui vous intéressent. Celles-ci ne se reconnaissent pas dans vos mots, puisque vous ne les avez pas écrits pour elles. En délivrant des messages « universels », on tombe à coup sûr dans le « moyen », le « bof », le « tiède », bref, l’ennuyeux. Qui veut être ennuyeux ? Et surtout, qui est attiré par du moyen tiède ? Voilà. Personne.

    Image très réaliste d’un chat qui voit un message publicitaire adressé à « tout le monde ».

    Votre mission est donc de définir clairement à qui vous voulez vendre vos services ou vos produits. Créez un personnage en choisissant si c’est un homme ou une femme, en lui donnant un prénom, et en décidant de son âge, de la couleur de ses yeux, de ses cheveux, son statut matrimonial, s’il/elle a des enfants, si oui de quel âge, où il/elle vit, ses revenus annuels, son métier, ses livres, films, magazine, chansons préférés, ce qu’il/elle fait de son temps libre, qui sont ses idoles, etc.

    Une fois conçu cet avatar de votre client idéal, tâchez de toujours l’avoir en tête lorsque vous communiquez au sujet de votre entreprise, et imaginez que c’est à lui et à lui seul que vous parlez.

    Non, cela ne vous fermera aucune porte : au lieu d’envoyer un message dilué et tiède à tout le monde, et qui ne sera réellement reçu par personne, vous toucherez profondément les personnes susceptibles d’êtres intéressées par vos produits ou services.[/vc_column_text][vc_column_text]

    Les supports de communication

    Les imprimeurs, qui, eux aussi, doivent se démarquer de la concurrence, font de gros efforts pour produire de nouveaux articles qui vous aideront à affirmer votre différence.

    Je vous livre ici quelques idées, dans une liste non exhaustive et qui s’étoffera avec le temps, au fur et à mesure des innovations technologiques.

    [/vc_column_text][vc_column_text]

    La classique carte de visite… revisitée

    Si vous aimez la pâtisserie, vous avez peut-être suivi l’émission de Cyril Lignac, « Le meilleur pâtissier », dans laquelle il était souvent demandé aux candidats de « revisiter » une recette classique. C’est une façon de sortir du cadre, en proposant un produit classique, voire nécessaire, mais exécuté de façon différente, afin de surprendre et de capter l’attention. Et donc, de se démarquer de ses concurrents.

    En 2016, une cliente organisatrice de voyages m’a confié la création de son logo, de son site Internet et de ses cartes de visite. J’ai donc conçu ces dernières comme des étiquettes de valise, un peu à l’ancienne car ma cliente propose des séjours pendant lesquels on prend le temps d’explorer.

    [/vc_column_text][vc_column_text]

    Publicité sur lieu de vente

    Si vous vendez des produits, pourquoi ne pas faire de la publicité sur lieu de vente (PLV) ?

    En vous affichant chez vos détaillants, vous augmentez vos chances d’être connu et choisi par les clients de passage, comme les habitués.

    Par exemple, j’ai créé en 2014 une toile décorative pour le whisky P&M, dont je venais de refaire l’étiquette. Les propriétaires du Domaine Mavela voulaient offrir un objet décoratif au bar bastiais le « Flying Circus », qui propose le fameux whisky corse à ses clients. Le résultat ? Une toile pop qui s’accorde à l’esprit et à la décoration existante du bar, ce qui pousse ses gérants à l’accrocher au mur et ainsi promouvoir le P&M :

    Attention : il s’agit bien ici de proposer un graphisme que votre client aura envie d’afficher, de créer une vraie « œuvre » autour de votre produit, qui soit aussi en adéquation avec l’esprit et le style du lieu de vente dans lequel vous souhaitez qu’il soit présent.

    Dans le même esprit, on peut penser aux sous-bocks, aux coussins, aux tabourets en carton…[/vc_column_text][vc_column_text]

    L’habillage de véhicule

    Vous avez l’impression de passer votre vie dans votre voiture, allant à la rencontre de clients et de prospects ? Profitez-en pour faire voyager l’image de votre entreprise.

    Mais attention à la conception de votre habillage : gardez à l’esprit que, sauf quand vous serez garé, on ne vous verra que quelques secondes.

    Il faut donc :

    1. Être lisible de loin
    2. Marquer les esprits

    Pas d’autocollant de la taille d’une feuille d’imprimante sortie tout droit de Word, avec le nom de votre entreprise écrit en pattes de mouche.

    Pensez plus grand, littéralement, comme sur cet exemple qui réunit bien nos 2 critères précités :

    habillage véhicule publicitaire[/vc_column_text][vc_column_text]

    Tout est dans le graphisme

    On peut tout à fait sortir du lot avec un support classique. Le visuel sera alors l’atout majeur de votre communication.

    Pour marquer les esprits, « less is more », tout simplement parce que face à la quantité monstrueuse d’informations que l’on doit avaler et digérer chaque jour, un visuel qui nous donne de l’air, on s’y attarde !

    Par exemple, ces deux affiches mettant en scène un produit de façon élégante, sobre et reposante :[/vc_column_text][vc_masonry_media_grid element_width= »6″ grid_id= »vc_gid:1525895098230-45e20cbd-8e14-7″ include= »7192,7193″][vc_column_text]

    Le diable est dans les détails

    Petits détails, grands effets : on peut rendre original et marquant un support de communication a priori banal. Pour cela, pensez aux différents sens qui sont stimulés lorsqu’une personne réceptionne ce support.

    Par exemple, une simple carte de visite peut surprendre la personne à qui vous la donnez car entre ses doigts, elle sent un relief auquel elle ne s’attendait pas.

    Le gaufrage est une technique qui permet de mettre en avant certains éléments d’une composition imprimée. C’est ce que j’ai choisi pour mon logo sur ma carte de visite :

    carte de visite gaufrage

    Il existe même des pinces à sec, qui permettent d’appliquer un gaufrage sur n’importe quelle feuille. L’occasion d’ajouter une touche d’originalité à tous les documents papier que vous envoyez, et ainsi sortir encore un peu plus du lot en utilisant le sens du toucher, auquel vos concurrents n’ont peut-être pas pensé…[/vc_column_text][vc_cta h2= » » h4= »Connaissez-vous d’autres façons de vous distinguer de la concurrence ? »]N’hésitez pas à partager vos idées dans les commentaires ![/vc_cta][vc_column_text]

    Photo de haut de page : Cristina Gottardi

    [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

    Prêts à sortir du lot ?

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      La symbolique des couleurs

      La symbolique des couleurs

      Les couleurs ont chacune une signification inscrite dans notre inconscient collectif. Afin de les utiliser correctement dans la communication, il est important d’en prendre connaissance.

      Synthèse de toutes les couleurs, le blanc est la lumière, et les anciens en avaient fait la couleur de la divinité : les Égyptiens enveloppaient les défunts dans un linceul blanc pour montrer que la mort délivre l’âme pure de son enveloppe charnelle périssable.
      Participent de la symbolique du blanc et emblèmes de pureté, vertu et chasteté : la robe blanche de la communiante et de la mariée, le bouquet de fleur d’oranger, le lys, la colombe, le lin, l’ivoire, le diamant, la neige… Par extension, c’est aussi parfois la couleur du deuil d’un enfant, d’un être pur… Sous son aspect maléfique : la lune (le blanc lunaire est celui de la lividité cadavérique et du linceul).

      En Égypte, le rouge symbolisait l’amour divin. C’est la couleur du sang frais et du feu qui, selon les anciennes croyances, a créé le monde, et le détruira. Il symbolise la vie, la chaleur et la génération, mais aussi la destruction. Le rouge vif, ou clair est la force vitale, la richesse et l’amour. Mais, sous son aspect infernal, le rouge correspond à l’égoïsme, à la haine et à l’amour infernal.
      Au niveau psychologique, le rouge représente la joie de vivre, l’optimisme, la vigueur, l’instinct combatif et ses tendances agressives, la pulsion sexuelle, le désir amoureux, la passion, le besoin de conquête…

      Couleur de la lumière, emblème de l’or, associé au miel, le jaune était la couleur de la lumière céleste révélée aux hommes et de la doctrine religieuse enseignée dans les temples. Mais le jaune lunaire, couleur de l’or terni et du soufre symbolise l’inconstance, la jalousie, les passions dépravés, l’adultère, la culpabilité, la trahison (dans l’iconographie, Judas est vêtu de jaune ; dans plusieurs pays, les juifs devaient porter des vêtements jaunes parce que Judas avait trahi le Christ , ou une étoile jaune… ; en France, on barbouillait de jaune la porte des traîtres, les “briseurs de grève” étaient appelés des “jaunes”…).
      Du point de vue psychologique, et dans les rêves, le jaune est la couleur de l’intuition et symbolise la capacité de renouvellement, l’entrain, la jeunesse et l’audace, mais aussi souvent l’instabilité et la vanité. Il révèle un besoin de supériorité et, à l’extrême, la volonté de puissance aveugle manifestée en prétentions exagérées à une supériorité factice (souvent compensation d’un sentiment d’infériorité mal liquidé ou inconscient).

      L’orangé, qui procède du rouge et du jaune, désigne la révélation de l’amour divin à l’âme humaine, et fut le symbole du mariage indissoluble, mais aussi, par renversement du symbole, de l’adultère, de la luxure, de la dissimulation et de l’hypocrisie. Dans les rêves, cette tonalité chaude et brillante, emblème de la luxure, exprime un intense besoin de jouissance et d’expansion, et reflète un équilibre fragile et la nécessité de contrôler ses impulsions. Attribut de Typhon (le monstre qui, en s’attaquant aux dieux de l’Olympe, engagea la lutte entre la lumière et les forces souterraines), le roux a symbolisé dans toutes les mythologies les tendances animales de l’homme, la fécondité extravagante, la perversion, la concupiscence et leurs conséquences : intempérance, débauche, violence, égoïsme…

      Le bleu est associé à la divinité dans toutes les mythologies. Le bleu jupitérien, couleur froide du vide, est celle de la vérité. Pour les Égyptiens, de la vérité éternelle, de l’immortalité ; la fidélité, la chasteté, la loyauté et la justice dans la tradition chrétienne. Identifié à l’air, au vent, il symbolise la spiritualité, la contemplation, la passivité et favorise la méditation, le repos. Le bleu clair reflète l’inaccessible, le merveilleux, l’évasion. Sur le plan psychologique et dans les rêves, le bleu est la couleur de la tolérance et représente l’équilibre, le contrôle de soi, les tendances à la générosité, à la bonté, un comportement réfléchi et le besoin de sérénité.

      Le vert, couleur de la nature, est doué d’un pouvoir de régénération, car il capte l’énergie solaire et la transforme en énergie vitale. Il est le symbole de la régénération spirituelle. Couleur des bourgeons printaniers, signalant la fin de l’hiver, il symbolise l’espérance. Produit de l’association du jaune et du bleu, le vert possède une dualité : c’est la couleur de Vénus, symbole de renouveau, mais aussi de la vengeance. En Chine, le vert désigne l’Est, le printemps, le bois et la charité ; dans le christianisme, la régénération dans les actes, c’est à dire la charité, et, par antinomie, la dégradation morale et la folie, le désespoir. Teinté de jaune (la couleur des yeux du dragon et des serpents) le vert est la couleur des eaux mortes, de la putréfaction et a une influence néfaste. Sur le plan psychologique et dans les rêves, le vert, couleur de la vigueur sexuelle, reflète le besoin d’épanouissement, d’estime, de valorisation, de culture et de connaissance.

      Le bleu et le rouge s’équilibrent dans le violet qui signifie l’amour de la vérité et la vérité de l’amour. Il fut le symbole des noces mystiques du Seigneur et de l’Église, de la passion et des martyrs, et représente l’identification totale du Père et du Fils. C’est aussi la couleur des veuves, des évêques et des martyrs, et un symbole de mort pour les Chinois. En psychologie, le violet, couleur de la fusion amoureuse, de la soumission, traduit le besoin d’union, d’approbation et d’identification à un être aimé. Mais ce rouge refroidi renferme quelque chose d’éteint et peut exprimer un état d’esprit mélancolique, s’accompagnant du besoin de tendresse et de douceur.

      Association du rouge et du blanc, le rose, couleur de la chair, de la rosée régénératrice, de la séduction, symbolise l’amour, la pureté, la fidélité (comme la fleur du même nom).

      Le brun, couleur de la terre, de la boue et du feuillage d’automne, renferme des idées de dégradation et de mort. Dans la symbolique chrétienne, le rouge-noir, mélange de feu, de fumée, de cendre et de suie est le symbole de l’amour infernal et de la trahison. Couleur de la matérialité, le brun correspond à l’agressivité latente ou déclarée, la méchanceté, l’obstination, l’avarice, l’égoïsme. Dans les rêves, il traduit le besoin de confort et de sécurité.

      Union du blanc de l’innocence et du noir de la culpabilité, le gris fut l’emblème chrétien de la mort terrestre et de l’immortalité spirituelle, de l’innocence calomniée, noircie, condamnée par l’opinion ou les lois. C’est aussi la tonalité de la tristesse, de l’anxiété, de la rêverie vague. Dans la Bible, c’est la couleur de la cendre, symbole de pénitence et de deuil. Couleur équivoque, le gris traduit le manque de vigueur des asthéniques, des déprimés, l’égoïsme, le refus de l’engagement, l’enclos narcissique, et, dans les rêves, l’excès d’indifférence, l’ennui, la froideur, le besoin de tranquillité.

      Le noir, négation de la lumière, est le symbole du néant, de l’erreur, de ce qui n’est pas et s’associe à la nuit, à l’ignorance, au mal, à ce qui est faux. Il indique “l’ignorance enfantée par le mal et par toutes les passions égoïstes et haineuses”. Couleur du charbon, il évoque le processus de la combustion, prélude à la régénération et renferme une idée de résurrection. On peut y voir l’expression du complexe d’abandon, inséparable de la mélancolie et souvent accompagné de la peur de la vie et du désespoir, tendance reflétées dans les rêves, ainsi que le besoin d’indépendance.

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